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La liberté religieuse prévaut

Rétablir la liberté de religion en tant que droit fondamental

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Pourquoi la liberté de religion est-elle si importante?

La liberté de religion est un droit fondamental, inaliénable et pré-politique qui appartient à chaque personne, indépendamment de ses convictions.
La liberté d’entretenir une relation personnelle avec Dieu a été instaurée au tout début de l’histoire humaine.
Dieu a créé les cieux, la terre, et tout ce qu’ils contiennent. Parmi toutes ses créatures, c’est l’homme qu’il a façonné à Son image. Cela fait de l’être humain une créature religieuse par nature, dotée de liberté, de dignité et de responsabilité morale, à l’instar de son Créateur.
Tout comme Adam et Ève, nous sommes libres de choisir Dieu. L’apôtre Paul nous le rappelle dans l’épître aux Galates:

“C’est par la liberté que le Christ nous a libérés”

Jésus nous a appris de rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. Le cœur et l’âme de tout être humain appartiennent à Dieu, non pas à César. Un gouvernement qui décide d’imposer ou d’interdire un culte fait intrusion dans le domaine réservé exclusivement à Dieu.

Le livre des Actes des Apôtres nous apprend comment les apôtres ont résisté aux efforts entrepris par les autorités de l’époque pour interdire leur foi et limiter leur liberté d’annoncer la Bonne Nouvelle. Étant donné que les hommes sont libres devant Dieu, l’État, instauré par Dieu, se doit de protéger et de respecter la liberté de culte et le droit de vivre conformément à ses convictions.
En tant que chrétiens, nous sommes appelés à proclamer la Bonne Nouvelle en actes et en paroles, et à vivre le culte ouvertement.

La censure systématique, les attaques à la liberté de conscience et les restrictions du culte vous ont peut-être fait croire que la foi est une affaire privée et que le message proclamé par les chrétiens est nocif. Mais cela est faux.

La liberté de religion ou de conviction est un droit humain fondamental et universel. Il est reconnu par les principaux traités internationaux sur les droits de l’homme.

Cette liberté vaut pour toute personne humaine, quelle que soit sa religion ou sa croyance et même en l’absence de celle-ci. L’État n’a rien à dire sur la religion ou les convictions d’un individu. Toute personne est libre de croire ce qui lui chante. Ce droit ne dépend donc pas de la validité supposée de ces idées. La place qu’occupe la liberté de religion dans la législation est d’ailleurs la reconnaissance du fait que la religion ou la croyance de quelqu’un, tout comme le choix délibéré de ne croire en rien, fait partie intégrante de l’être de cette personne et de la façon à laquelle elle entend vivre sa vie.

Dès lors, protéger la liberté de religion revient à reconnaître et à protéger la dignité humaine.
Un des principaux devoirs d’un gouvernement est de préserver la liberté de chacun de vivre selon ses convictions personnelles. Personne ne devrait être puni pour avoir exprimé de manière pacifique ses convictions profondes.

La persécution partout dans le monde le montre clairement: une société ne peut pas vivre en paix tant que le droit à la liberté de religion n’y est pas respecté.

What is the legal framework for the human right to religious freedom?

Le droit à la liberté de religion ou de croyance est solidement ancré dans la législation internationale et repose sur l’affirmation fondatrice à l’article 18 de la Déclaration universelle des droits de l’homme, qui veut que “toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.”

Cela a été codifié dans le droit international à l’article 18 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. De plus, l’article 4 de ce même pacte stipule que la liberté de religion est un droit indérogeable: même dans un état d’urgence, les États ne peuvent pas manquer à leur obligation de le protéger.

Au niveau régional, la Convention européenne des droits de l’homme protège la liberté de religion et de conscience par l’article 9, qui reprend également le droit de manifester sa religion ou sa conviction “par les pratiques et l’accomplissement des rites”. La Charte de l’Union européenne va encore plus loin et reconnaît explicitement le droit à l’objection de conscience.

L’article 12 de la Convention américaine des droits de l’homme comprend une protection ample de la liberté de religion, y compris du droit de changer de religion

Des lois qui visent à criminaliser la liberté de religion

En Occident, la liberté de religion est protégée par les constitutions nationales. Pourtant, en pratique, cette protection s’avère souvent moins solide que prévu, les lois dites “anti discrimination” l’emportant sur les revendications en matière de liberté religieuse. Dans d’autres régions du monde caractérisées par la persécution, la liberté de religion est restreinte par des lois qui pénalisent la conversion, l’apostasie, le blasphème, le prosélytisme, l’autonomie des églises ainsi que le culte communautaire, autant pour les chrétiens que pour d’autres minorités religieuses. Les lois qui interdisent de se convertir sont contraires à la liberté de choisir sa religion et de changer de religion. Souvent, elles sont appliquées de manière arbitraire par les forces de l’ordre et les administrations publiques, rendant quasiment impossibles les conversions légales. En l’absence d’une interdiction proprement dite, elles créent de nouveaux obstacles administratifs qui empêchent de passer de la religion majoritaire à une religion minoritaire, en général de l’islam au christianisme. Les lois anti-conversion sont en vigueur dans tout le Sud et le Sud-Est asiatique, notamment en Inde, au Népal, au Myanmar et au Bhoutan. Les lois dites “anti-blasphème”, quant à elles, portent atteinte aux droits de l’homme en criminalisant les propos jugés insultants contre les doctrines de la religion majoritaire. Parfois, elles imposent la peine de mort, alors que le (ou la) ‘coupable’ n’a fait qu’exprimer pacifiquement ses convictions. Des lois anti-blasphème existent en 79 pays; 8 d’entre eux sanctionnent le blasphème par la peine de mort. Partout dans le monde, tout un chacun doit pouvoir témoigner de sa religion et vivre selon les principes qu’elle préconise, y compris lorsqu’il s’agit d’annoncer et de suivre l’Évangile. ADF International défend avec véhémence la liberté de religion et s’oppose contre toute tentative de punir ou de persécuter des individus qui ne souhaitent que pratiquer leur religion de manière pacifique. Avec l’aide de nos réseaux internationaux, nous demandons justice pour les personnes persécutées et nous tentons de faire abolir les lois qui portent atteinte à la liberté de religion et créent une culture de persécution dangereuse et parfois fatale.

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