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Défense de la vie

Protéger la vie, de la conception jusqu’à la mort naturelle

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Pourquoi le droit à la vie est-il inhérent à toute personne ?

Toute vie humaine a été créée et donc voulue par Dieu. Il s’ensuit que la vie de tout être humain a une valeur intrinsèque, et il en découle un droit inaliénable que nous avons tous : le droit à la vie, de la conception à la mort naturelle.

Dieu nous a créés par amour et, tel que nous l’enseigne la bible, Il nous a formés dans le sein maternel. Il nous connaissait dès avant notre naissance, et Il a envoyé son Fils pour nous sauver et nous racheter. Notre rédemption par le Christ constitue un reflet parfait de la valeur intrinsèque de la vie humaine – mais aussi, de toute vie humaine.

Dans nos sociétés cependant, certains s’efforcent de nous faire croire que la valeur de la vie humaine serait relative, et qu’il nous serait permis d’en disposer à notre gré – allant jusqu’à pouvoir y mettre fin. L’avortement et l’euthanasie en constituent des exemples éloquents, tout comme certaines questions d’ordre bioéthique que suscitent les technologies émergentes.

Toutefois, parce que toute vie est créée par Dieu, toute vie Lui appartient. Ce n’est pas à nous qu’il revient de la reprendre : ni au début de la vie, ni en fin de vie, ni à « mi-parcours ». Alors que le Livre des Proverbes (Prov 6, 17) nous apprend que Dieu répugne « les mains qui répandent le sang innocent », le Deutéronome nous enjoint à « choisir la vie pour que vous viviez, toi et ta descendance, en aimant le Seigneur ton Dieu, en écoutant sa voix, en vous attachant à lui ; c’est là que se trouve ta vie, une longue vie sur la terre » (Dt 30, 19-20). Par ailleurs, l’Écriture illustre abondamment que la grâce de Dieu peut se révéler même au cœur de la souffrance, qui n’altère en rien la valeur intrinsèque de la vie.

Par conséquent, la vie mérite la plus haute protection et l’état, en tant que serviteur de Dieu, a le grave et important devoir de respecter et de protéger la vie humaine.

Le droit à la vie, solidement ancré dans le droit international

Le droit à la vie est solidement ancré dans le droit international, et protégé en tant que droit de l’homme. Toutefois, de nos jours, ce droit n’est pas à l’abri de graves menaces que l’on aperçoit clairement, entre autres, dans certains pratiques mettant directement fin à la vie humaine et qui ne sont ni reconnues, ni cautionnées par le droit international. L’avortement, par exemple – le fait d’ôter une vie à un enfant, au stade le plus innocent et le plus vulnérable de son existence. Contrairement à un discours parfois ambiant, il n’existe aucun « droit à l’avortement » en droit international. Au contraire, les principaux textes et instruments de droit international, contraignants pour les états, commandent avant toute autre chose que la vie soit protégée, et contiennent par ailleurs de nombreuses références aux droits de l’enfant à naître. Il en va de même en ce qui concerne l’euthanasie et le suicide assisté : il n’existe pas de « droit à mourir ». Aucun élément de droit international ne commande ni n’appuie la légalisation de l’euthanasie ou du suicide assisté (ou d’autres pratiques pouvant y être assimilées). Au contraire : les traités établissant les droits de l’homme demandent de protéger toute vie humaine, en particulier la vie des plus vulnérables. Une protection nécessaire aujourd’hui, contre ce que d’aucuns qualifient de « culture de mort » qui menace de s’installer dans nos sociétés.

Quelques traités internationaux, parmi d’autres, protégeant la vie humaine

Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques établit à l’article 6 (1) que « Le droit à la vie est inhérent à la personne humaine. Ce droit doit être protégé par la loi. Nul ne peut être arbitrairement privé de la vie ».

 

La Convention relative aux droits de l’enfants rappelle à l’article 6 (1) que « tout enfant a un droit inhérent à la vie », et précise dans son préambule que « l’enfant … a besoin d’une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d’une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance ».

 

La Convention relative aux droits des personnes handicapées, quant à elle, considère à l’article 10 que « le droit à la vie est inhérent à la personne humaine et [que les États Parties] prennent toutes mesures nécessaires pour en assurer aux personnes handicapées la jouissance effective, sur la base de l’égalité avec les autres. ».

 

La Convention américaine des droits de l’homme stipule que « toute personne a droit au respect de sa vie. Ce droit doit être protégé par la loi, et en général, à partir de la conception. » (article 4).

 

L’article 2 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne reconnaît que « toute personne a droit à la vie ». La Cour européenne des droits de l’homme a statué à plusieurs reprises que la Convention européenne des droits de l’homme ne contient pas de (dit) « droit à mourir », lequel serait d’ailleurs diamétralement opposé au droit à la vie, protégé par la Convention.

La Convention relative aux droits de l’enfants rappelle à l’article 6 (1) que « tout enfant a un droit inhérent à la vie », et précise dans son préambule que « l’enfant … a besoin d’une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d’une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance ».

La Convention relative aux droits des personnes handicapées, quant à elle, considère à l’article 10 que « le droit à la vie est inhérent à la personne humaine et [que les États Parties] prennent toutes mesures nécessaires pour en assurer aux personnes handicapées la jouissance effective, sur la base de l’égalité avec les autres. ».

La Convention américaine des droits de l’homme stipule que « toute personne a droit au respect de sa vie. Ce droit doit être protégé par la loi, et en général, à partir de la conception. » (article 4).

L’article 2 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne reconnaît que « toute personne a droit à la vie ». La Cour européenne des droits de l’homme a statué à plusieurs reprises que la Convention européenne des droits de l’homme ne contient pas de (dit) « droit à mourir », lequel serait d’ailleurs diamétralement opposé au droit à la vie, protégé par la Convention.

La liberté de conscience dans la profession médicale

Beaucoup de médecins ou de futurs médecins, chrétiens, renoncent à se spécialiser dans certains domaines de la médecine, tels que la gynécologie ou l’obstétrique : ils craignent d’être de plus en plus mis sous pression et de devoir renoncer à agir selon leur conscience, en raison du nombre croissant de conflits moraux surgissant dans ces domaines.

C’est aussi là qu’ADF International a vocation à intervenir.

Notre conviction, c’est que personne ne devrait être forcé de faire le choix entre sa conscience et sa profession. La conscience, les croyances personnelles, ont un aspect transversal : s’appliquant à tous les domaines de la vie, il ne saurait être question d’y renoncer ou de les laisser de côté, lorsqu’il s’agit de la vie professionnelle.

ADF International s’engage à défendre la liberté de conscience, en tant que droit de l’homme reconnu et protégé par le droit international, et cela en particulier lorsqu’il s’agit de défendre la vie, en ce compris dans la sphère professionnelle – et, notamment, en médecine.

 

Parmi les pratiques qui mettent à mal les droits de l’homme, l’on retrouve celles qui impliquent de « diviser » la maternité entre plusieurs personnes. Par exemple, la gestation pour (par) autrui, dite également maternité de substitution ou pratique des mères-porteuses.

 

Il convient de protéger en particulier les femmes contre cette forme d’exploitation qui, en quelques sortes, les réduit à un utérus qu’elles pourraient « mettre en location », et entraine de graves conséquences tant pour la mère que pour l’enfant. Celui-ci, que l’on se doit tout autant de protéger, court le risque d’être vendu après la naissance et d’être privé du droit de connaître ses origines. Aussi observe-t-on que les femmes issues de pays en voie de développement sont de plus en plus les victimes de cette pratique.

C’est aussi là qu’ADF International a vocation à intervenir.

Notre conviction, c’est que personne ne devrait être forcé de faire le choix entre sa conscience et sa profession. La conscience, les croyances personnelles, ont un aspect transversal : s’appliquant à tous les domaines de la vie, il ne saurait être question d’y renoncer ou de les laisser de côté, lorsqu’il s’agit de la vie professionnelle.

ADF International s’engage à défendre la liberté de conscience, en tant que droit de l’homme reconnu et protégé par le droit international, et cela en particulier lorsqu’il s’agit de défendre la vie, en ce compris dans la sphère professionnelle – et, notamment, en médecine.

Parmi les pratiques qui mettent à mal les droits de l’homme, l’on retrouve celles qui impliquent de « diviser » la maternité entre plusieurs personnes. Par exemple, la gestation pour (par) autrui, dite également maternité de substitution ou pratique des mères-porteuses.

Il convient de protéger en particulier les femmes contre cette forme d’exploitation qui, en quelques sortes, les réduit à un utérus qu’elles pourraient « mettre en location », et entraine de graves conséquences tant pour la mère que pour l’enfant. Celui-ci, que l’on se doit tout autant de protéger, court le risque d’être vendu après la naissance et d’être privé du droit de connaître ses origines. Aussi observe-t-on que les femmes issues de pays en voie de développement sont de plus en plus les victimes de cette pratique.

« C’est toi qui as créé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère. Je reconnais devant toi le prodige, l’être étonnant que je suis : étonnantes sont tes oeuvres toute mon âme le sait. »

ADF International : un plaidoyer pour le droit à la vie, partout dans le monde

Nous nous engageons pour que partout dans le monde, le droit le plus fondamental et primordial soit protégé et préservé : le droit de tous à la vie. Les pratiques qui violent ce droit, telles que l’avortement, l’euthanasie et le suicide assisté devraient être déclarées illégales.

ADF International s’engage quotidiennement afin :

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